Les produits utilisés pour la potabilisation de l’eau du robinet
Que savons-nous vraiment des différents produits particulièrement
dangereux utilisés couramment par les Compagnies des Eaux dans leurs opérations
de potabilisation dont les deux principaux sont le chlore et les sels
d’aluminium ?
Le chlore
Les Compagnies des Eaux ajoutent systématiquement ce redoutable
biocide (tueur de vie) à l’eau du réseau pour la « traiter » en prévention
immédiate des maladies hydriques et de ce fait, elles vont déplacer et créer
dans le temps, d’autres problèmes de santé beaucoup plus graves à
l’avenir.
Le pictogramme qui représente le chlore sur sa fiche de sécurité
est une tête de mort qui en dit long sur sa dangerosité.
Les recommandations officielles voudraient qu’on retrouve 0,1
mg/litre de chlore à chaque point du réseau d’eau traité mais aucune
information n’est accessible pour connaitre la méthodologie utilisée pour
contrôler réellement sa présence.
Néanmoins, les consommateurs qui habitent une maison se trouvant à
proximité d’une station de potabilisation ont beaucoup plus de soucis à se
faire qu’un habitant situé en fin de réseau et cela quel que soient les
résultats des analyses officielles qui sont annoncés.
https://lesbrindherbes.org/2015/01/27/vigipirate-la-sur-chloration-de-leau-est-elle-sans-danger/
Même à faible dose, le chlore ne sait pas faire de différence
entre les bonnes et les mauvaises bactéries qui se trouvent dans l’eau du
réseau mais également dans notre système digestif quand nous l’ingérons avec
l’eau de notre robinet.
Dès son incorporation dans l’eau brute des stations de
potabilisation, le chlore va se combiner avec toutes les matières en suspension
invisibles à l’œil nu qu’il rencontre pour générer un sous-produit, les
Trihalométhanes. Ces THM sont considérés comme cancérigènes par l’OMS qui les
dénombre parmi plus de 600 autres sous-produits toxiques de la chloration.
https://charliehebdo.fr/2019/10/ecologie/la-si-bonne-eau-du-robinet-aux-trihalomethanes/
Si officiellement 5 % des cancers de la vessie en Europe sont dus
aux THM, c’est sans compter son impact également sur les autres types de cancer
comme celui du colon, du rectum, du foie, des reins, sur les malformations des
fœtus, les fausses couches, les maladies cardio-vasculaires….
La recommandation du Ministère de la Santé de ne pas dépasser les
0,1 mg/l de chlore dans l’eau de nos réseaux est en vigueur à La Réunion comme
en France. Dans la réalité il arrive que le chlore libre détecté dans les
analyses officielles du Laboratoire Départemental d’Epidémiologie et d’Hygiène
du Milieu de notre île, soit jusqu’à 20 fois plus important dans certains
prélèvements par rapport à cette recommandation.
Il existe à La Réunion des lieux de prélèvements où parfois le
chlore libre mesuré officiellement est de 1 mg/l (10 fois plus) dans un hôpital
d’enfants, 1,4 mg/l (14 fois plus) dans une école et de 2 mg/l (20 fois plus)
chez un particulier, exactement la dose qu’on utilise pour traiter une piscine
et cela ne pose apparemment aucun problème aux autorités sanitaires !!!
Il est indiqué à la rubrique des observations-conclusions de ces 3
rapports d’analyse en notre possession : « Les valeurs des paramètres
mesurés sont conformes aux normes fixées par le décret 2001-1220 relatif aux
eaux livrées à la consommation humaine. » ! ! !
Pour rappel, nous sommes ici en milieu tropical avec souvent des
eaux beaucoup plus chargées en matières en suspension qu’en Europe, ce qui
automatiquement va accroitre la présence des THM et les risques sanitaires à
moyen et long terme qui y sont liés.
Et si l’explosion des cancers du côlon, du rectum, de la vessie…
au sein de la population réunionnaise qui sont en proportion deux fois et demie
plus importante qu’en France, était liée à l’eau qui coule de nos robinets
?
Mais apparemment cette hypothèse embarrassante n’intéresse
aucunement nos autorités publiques comme l’ARS, l’Office de l’Eau (avec son
budget annuel de 80 millions d’euros) et nos élus qui sont parfois aussi
médecins au Conseil Général, à la CINOR, à l’Association des Maires de la
Réunion …
Sur ce
lien, vous pourrez accéder à notre correspondance édifiante échangée avec ces
divers organismes
Pour conclure sur ce sujet, laissons la parole au docteur Herbert
Schwartz (biologiste et chimiste au Cumberlan County College aux USA) : « Le
chlore est si dangereux, qu’il devrait être interdit. L’ajouter dans l’eau
c’est comme mettre en place une bombe à retardement : Cancer, troubles
cardiaques, vieillissement mental et physique précoce sont des effets
attribuables au chlore se trouvant dans l’eau de robinet. Il nous fait vieillir
avant l’heure en accélérant les symptômes du vieillissement tels que le
durcissement des artères. Je crois que si le chlore était proposé, aujourd’hui,
pour la première fois, il serait interdit par la F.D.A. équivalent américain de
l’AFSSA »
Les sels d’aluminium
L’autre produit toxique utilisé pour « potabiliser » notre eau est
un sulfate d’aluminium, ce métal responsable de maladies comme Alzheimer….
Selon M. Guy Berthon, ancien directeur de recherche au laboratoire
de chimie du CNRS « l'aluminium ne sert à rien dans l'organisme humain. Pire à
fortes doses ou à doses régulières il est toxique (…) en trouver dans l'eau du
robinet, c'est criminel ».,
https://youtu.be/xTbJ211AMHM Du poison dans l’eau du robinet
Le sulfate d’aluminium présente néanmoins 2 énormes avantages :
- il est
redoutablement efficace pour clarifier et potabiliser une eau de rivière
turbide (trouble) ce qui arrive souvent en milieu tropical
- il est très
économique à l’achat pour les Compagnies des Eaux qui peuvent l’utiliser en
toute discrétion. Les seuls contrôles pour vérifier si les seuils limites de
200 mg/l d’aluminium ne sont pas dépassés lors de ces opérations délicates de
floculation sont faites en interne loin des regards des laboratoires
indépendants et de l’ARS…et cela en toute légalité.
Ci-dessous les interventions des 2 sénateurs réunionnais au sujet
de la pollution de l’eau du robinet par les sels d’aluminium et la réponse
étonnante du gouvernement en juin 2010 :
Mme Anne Marie PAYET, sénatrice :
https://www.senat.fr/questions/base/2010/qSEQ10101056S.html
M. Jean Paul VIRAPOULE, sénateur également sur le même sujet :
https://www.senat.fr/questions/base/2010/qSEQ100814858.html
12 ans après l’intervention de ces deux sénateurs, rien n’a évolué en matière d’information et de méthode de traitement des eaux brutes avec les sels d’aluminium. Les consommateurs d’eau du robinet non informés des risques induits par l’aluminium sur leur santé, notamment ceux qui ont des problèmes rénaux (greffés, dyalisés…) doivent continuer tous les jours à jouer à la roulette russe bien malgré eux.
Conclusion :
Soyons réaliste, l’eau du robinet peut être un moyen très efficace et discret pour le contrôle des populations au service d’un pouvoir mal intentionné en place.
Sous prétexte, de prévenir les caries dentaires des enfants, de nombreux pays occidentaux ajoute du fluor dans l’eau de leurs réseaux d’eau potable avec des conséquences avérés sur la santé publique notamment, avec certains types de cancer en augmentation.
La propagande utilisée à grande échelle pour clamer les bienfaits de ce produit toxique permet ensuite de le faire admettre comme indispensable même dans les dentifrices.
Dans les camps nazis et dans de nombreuses prisons ensuite à travers le monde, le bromure a été incorporé à l’eau de boisson pour rendre les prisonniers dociles et les empêcher d’avoir trop d’ardeur. Il existe des similitudes troublantes sur le plan moléculaire entre le bromure et le chlore.
Quand on constate l’apathie généralisée au sein de nos populations, le sujet mériterait peut-être d’être exploré davantage.
Après la pollution de nos aliments, de l’air que nous respirons, des ondes électro-magnétiques nocives qui nous entourent, il viendra peut-être le jour où la menace sur notre santé se fera encore davantage sur l’eau que nous buvons.
Sans sombrer dans la paranoïa, ce jour-là, seuls les utilisateurs d’un purificateur d’eau performant seront à l’abris de cette nouvelle attaque.